Auteur: Benjamin Lacombe et Lafcadio Hearn Editons: Soleil (Métamorphose), 2019 Nombre de pages: 208 Quatrième de couverture: Fasciné par le Japon - son art, sa culture et ses paysages - depuis ses plus tendres années, Benjamin Lacombe a souhaité illustrer Fantômes du Japon, un recueil d'histoires imprégnées du folklore japonais, recueillies par Lafcadio Hearn. Cet écrivain irlandais a été l'un des premiers occidentaux à obtenir la nationalité japonaise. Il est connu pour avoir sillonné les provinces de ce pays, recueilli et mis par écrit les contes et légendes de fantômes japonais. Pour cet ouvrage, Benjamin a choisi d'illustrer un panel de bestiaire large et diversifié ; une diversité qu'il était essentiel pour lui de laisser transparaître dans un traitement graphique différent pour chaque histoire. En fin de livre, la création de jeux, inspirés de jeux anciens, offre la possibilité de raconter sa propre légende de yôkai. Un hommage de toute splendeur, au ton juste. |
J’ai été vraiment gâtée quand une amie m’a offert ce magnifique recueil. Pourquoi ? Déjà parce que l’objet en lui-même est tout simplement sublime ! C’est vraiment un livre d’une très belle qualité avec une couverture qui a un rendu splendide dans la bibliothèque ainsi qu’au toucher.
Mais outre cet extérieur sublime, il y a aussi l’intérieur qui est magnifique. Chaque histoire est agrémentée d’illustrations toutes plus belles les unes que les autres, de quoi devenir un vrai régal pour les yeux. C’est un bonheur de tourner les pages et de découvrir tous les mystères dont regorge cet ouvrage.
Au niveau des histoires en elle-même, je les ai toutes adorées. J’en connaissais une seule dans le lot, mais pas les autres et elles m’ont toutes passionnée au même niveau. Il faut dire que les histoires de fantômes japonaises sont bien différentes de celles que nous trouvons chez nous, question de culture principalement, et je suis très fan de leurs légendes et de leurs croyances.
En lisant ce recueil, je me suis évadée en retrouvant la littéraire japonaise comme je l’aime tant. J’étais terriblement frustrée d’arriver trop vite à la dernière page, quelle tristesse de déjà refermer ce magnifique recueil, mais je suis contente de pouvoir y revenir dès que l’envie de lire une de ces histoires se fera sentir.