Auteur: François Larzem Editions: Les Moutons Electriques (Naos), 2017 Nombre de pages: 318 Quatrième de couverture: Passionné par le décolleté des belles bien plus que par le devenir de son pays, l’empereur n’est qu’un pantin aux mains de Monzag. Mais ces miettes de pouvoir ne suffisent plus à l’ambitieux marquis. Il projette un attentat qui devrait enfin lui offrir le trône tant convoité. Héritière d’une longue lignée de justiciers masqués surnommée "le Lys Noir", Faustine de Castellac semble être la seule à lutter contre l’oppresseur. Vêtue de sa combinaison de cuir, la jeune femme se change en une redoutable combattante. Une lame à la main, elle ne craint rien ni personne pour anéantir les plans du marquis. Mais Monzag est prêt à tout pour parvenir à ses fins, quitte à pactiser avec les forces du mal. Assistée de Giuseppe, son maître d’armes, et d’Ézéchiel, un inventeur de génie, Faustine s’apprête à affronter un adversaire autrement plus dangereux qu’elle ne l’imagine. Car ils sont légion. Remerciements: Je tiens à remercier chaleureusement l'auteur de m'avoir proposé la lecture de son roman que j'ai adoré. |
Je retrouve avec plaisir cet auteur 4 ans après avoir lu son livre « La griffe et le sang ». Quand il a pris contact avec moi pour me proposer la lecture de son nouveau roman, j’ai été immédiatement emballée et j’avais hâte de le découvrir. Dès les premières lignes, j’ai plongé sans difficulté dans ce nouvel univers, car son style est toujours aussi fluide et percutant, de quoi avoir envie d’en apprendre toujours plus.
Ses talents de conteur ne sont pas la seule chose qui fait que j’ai dévoré ce roman, l’histoire est passionnante et change de mes lectures actuelles. Les personnages sont tous très attachants et nous les suivons avec grand plaisir au fil des pages. Difficile de ne pas craindre pour leur vie, car les événements s’enchaînent à un rythme effréné, sans temps mort, les rebondissements étant légion.
En parlant des rebondissements, ils sont les grandes surprises de ce roman. Impossible de s’attendre à ce que l’auteur nous propose, mais oui il a osé (je ne vous dirai pas quoi) et je l’admire pour ça! Il m’aura fallu un moment pour me remettre de la fin, car elle m’a prise totalement au dépourvu, mais quel grand art ! Je n’ai qu’une seule hâte : avoir la suite entre les mains.