 | Créée par: Jonathan Nolan Saisons: 5, 13 épisodes (45 minutes), terminée Résumé: John Reese, un agent paramilitaire de la CIA présumé mort est engagé par un mystérieux milliardaire du nom de Harold Finch. Celui-ci a conçu pour le gouvernement, par le passé, une machine de surveillance de masse capable de prédire les actes terroristes dans le monde, en s'appuyant sur de nombreuses données comme les enregistrements des caméras de surveillance et des appels téléphoniques ou les antécédents judiciaires. Cependant, la machine repère aussi les crimes, les actes violents et autres délits impliquant des personnes ordinaires. Les autorités ayant décidé de ne pas tenir compte de ces données, Finch s'est laissé une porte de sortie et reçoit chaque jour les numéros de sécurité sociale de personnes impliquées. C'est avec l'aide de Reese qu'il va tenter de retrouver ces personnes et de découvrir si elles ont le rôle de victime ou de coupable dans l'affaire concernée. Traqués par l'inspectrice de police Joss Carter, ils s'aident d'un inspecteur anciennement véreux, Lionel Fusco, qui leur fournit des informations et garde un œil sur sa collègue policière.
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Voilà, on y est, c’est la fin de cette série qui m’aura passionnée durant de nombreuses années. Elle aura su exploiter un thème différent, et tellement d’actualité, de façon magistrale tout au long de ses 5 saisons. J’ai eu peur de me lasser au fil du temps, mais même si certains schémas étaient répétitifs, le fil rouge, qui s’accélère au fil des saisons, maintenait le côté révélations et surprises, au point de nous donner envie de poursuivre encore et toujours.
Ce que j’ai surtout adoré, au-delà du concept de la machine, ce sont les personnages. Je me suis attachée à chacun d’eux. J’ai tremblé, ri et pleuré avec eux, au point que c’était un plaisir de les croiser à chaque fois. J’ai particulièrement apprécié Root et Elias qui sont pour moi les plus réussis, sans oublier la machine qui évolue avec l’histoire pour prendre une place plus importante voire plus « humaine » pourrions-nous dire.
Cette série, c’est une critique de notre société connectée avec tous les éléments négatifs que cela implique. Elle remet les choses à leur place et nous permet de réfléchir plus sérieusement et de se poser de nombreuses questions. La fin est à la hauteur du reste et clôt cette histoire de belle façon, de quoi garder un sentiment très positif en repensant à cette série.
Ce que j’ai surtout adoré, au-delà du concept de la machine, ce sont les personnages. Je me suis attachée à chacun d’eux. J’ai tremblé, ri et pleuré avec eux, au point que c’était un plaisir de les croiser à chaque fois. J’ai particulièrement apprécié Root et Elias qui sont pour moi les plus réussis, sans oublier la machine qui évolue avec l’histoire pour prendre une place plus importante voire plus « humaine » pourrions-nous dire.
Cette série, c’est une critique de notre société connectée avec tous les éléments négatifs que cela implique. Elle remet les choses à leur place et nous permet de réfléchir plus sérieusement et de se poser de nombreuses questions. La fin est à la hauteur du reste et clôt cette histoire de belle façon, de quoi garder un sentiment très positif en repensant à cette série.
