 | Créée par: Don McGill et Donald P. Bellisario Saison: 17, 20 épisodes (45 minutes) Résumé: Cette série de fiction met en scène une équipe du NCIS, commandée par l'agent spécial Jethro Gibbs. Ces agents spéciaux enquêtent uniquement sur des crimes ayant un lien avec le personnel de la Marine des États-Unis y compris le Corps des Marines des États-Unis qui lui est administrativement rattaché.
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Je commençais déjà un peu à être moins enthousiaste après avoir vu la saison précédente, mais cette saison 17 aura sonné le glas pour moi… Il est des séries qui durent parfois trop longtemps et à mon sens, c’est le cas de celle-ci. Dès le premier épisode de cette saison et le retour d’un ancien personnage au combien important, j’ai eu du mal !
En fait, alors que ce retour aurait dû me faire plaisir, je n’ai pas du tout apprécié la façon dont cela se fait et encore moins les réactions de Gibbs. Leur relation est venimeuse dès le début et j’ai eu du mal avec cela. Du côté des enquêtes, je n’ai pas vraiment accroché non plus et je me rends compte que je ne suis plus du tout attachée aux personnages…
Une fois qu’on arrive à cette étape, impossible de continuer, car plus rien n’éveille suffisamment notre intérêt pour avoir envie de poursuivre. C’est donc avec regret et un peu de tristesse que je dis au revoir à cette série que j’avais regardée assidument jusque-là, mais cette fois-ci, je ne m’y retrouve plus du tout.
En fait, alors que ce retour aurait dû me faire plaisir, je n’ai pas du tout apprécié la façon dont cela se fait et encore moins les réactions de Gibbs. Leur relation est venimeuse dès le début et j’ai eu du mal avec cela. Du côté des enquêtes, je n’ai pas vraiment accroché non plus et je me rends compte que je ne suis plus du tout attachée aux personnages…
Une fois qu’on arrive à cette étape, impossible de continuer, car plus rien n’éveille suffisamment notre intérêt pour avoir envie de poursuivre. C’est donc avec regret et un peu de tristesse que je dis au revoir à cette série que j’avais regardée assidument jusque-là, mais cette fois-ci, je ne m’y retrouve plus du tout.
