 | Créée par: Mai Brostrom et Peter Thorsboe Saison: 1, 8 épisodes (45 minutes) Résumé: Inger Johanne Vik, une ex-profiler renommée du FBI, se retrouve entraînée au cœur de crimes sordides qui touchent Stockholm. Un homme tue froidement des personnes qui n’ont, en apparence, aucun lien entre elles mais les victimes ne sont pas choisies par hasard, le tueur semble exécuter des ordres bien précis. Inger Johanne n’est pas la seule à être impliquée dans cette histoire, sa fille autiste, témoin du premier meurtre, se retrouve en grand danger… L’enquête conduit Inger à faire équipe avec Ingvar Nymann, un enquêteur de la police criminelle. Ensemble, ils vont rassembler des indices et commencer à trouver un point commun entre les meurtres : ils sont reliés à un réseau international fondamentaliste. La chasse à l’homme commence alors.
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Je vous présente à nouveau une série dont j'ai croisé totalement par hasard la route. C'est le titre qui m'a attirée vers elle, car il m'a intriguée, je me demandais à quoi il faisait référence. J'ai bien fait de tenter l'aventure car je me suis retrouvée en présence d'une série de type thriller nordique, digne des plus grands romans noirs dont je raffole!
Nous suivons l'assassin en même temps que les enquêteurs dans une histoire à la toile impeccablement tissée qui nous tient en haleine du début à la fin. L'enquêtrice est d'ailleurs au coeur du récit car sa fille ayant des troubles autistiques a vu l'assassin cacher un des cadavres, donc elle sait à quoi il ressemble. C'est donc une espèce de course contre la montre qui s'engage entre l'assassin et la maman, en lien avec les souvenirs et l'incapacité de la jeune fille à évoquer ouvertement ce qu'elle a vu. Mais à sa façon, avec sa propre pensée, elle essaie de faire part de son inquiétude et de son vécu.
Le rythme alterne entre passages plus lents et action omniprésente, de quoi nous permettre d'être rivé à notre écran une bonne partie du temps. La fin est peut-être un peu expédiée, mais en même temps elle colle au reste de l'histoire et conserve ce côté réaliste présent dans toute la saison. Je me demande ce qui nous attend pour la deuxième saison!
Nous suivons l'assassin en même temps que les enquêteurs dans une histoire à la toile impeccablement tissée qui nous tient en haleine du début à la fin. L'enquêtrice est d'ailleurs au coeur du récit car sa fille ayant des troubles autistiques a vu l'assassin cacher un des cadavres, donc elle sait à quoi il ressemble. C'est donc une espèce de course contre la montre qui s'engage entre l'assassin et la maman, en lien avec les souvenirs et l'incapacité de la jeune fille à évoquer ouvertement ce qu'elle a vu. Mais à sa façon, avec sa propre pensée, elle essaie de faire part de son inquiétude et de son vécu.
Le rythme alterne entre passages plus lents et action omniprésente, de quoi nous permettre d'être rivé à notre écran une bonne partie du temps. La fin est peut-être un peu expédiée, mais en même temps elle colle au reste de l'histoire et conserve ce côté réaliste présent dans toute la saison. Je me demande ce qui nous attend pour la deuxième saison!
