Mangaka: Kei Sanbe Editions: Ki-oon, 2010 Nombre de pages: 210 Quatrième de couverture: Abandonnés par leur mère, deux enfants sont envoyés dans un centre de réadaptation sur l'île de Hôzuki. Kokoro et sa petite soeur aveugle, Yume, découvrent que leur nouveau foyer compte seulement quatre élève, pour autant de professeurs. Petit à petit, les langues se délient, les histoires des autres pensionnaires font froid dans le dos : à les entendre, meurtres, disparitions, visions fantomatiques et sombres machinations se succèdent sur cette île inquiétante... Pour survivre, les enfants n'ont qu'un seul mot d'ordre : ne se fier aux adultes sous aucun prétexte. |
Quand j'ai envie de découvrir de nouvelles séries et que je ne sais pas par où commencer, je lance des appels et c'est ainsi que cette série à croisé ma route. Elle m'avait déjà fait de l'oeil à sa sortie, mais prise ensuite dans les méandres de mes autres séries, je dois bien admettre qu'elle m'est complètement sortie de la tête. Aussi ni une ni deux, cette fois je me suis immédiatement lancée dans le premier tome.
Autant dire que ce début nous met dans le bain assez rapidement avec l'ambiance si particulière de cette île et de cette école qui sort de l'ordinaire. Que se passe-t-il réellement en ces lieux? Cela reste encore à découvrir, mais en un tome il y a déjà plusieurs morts ce qui rend le rythme bien soutenu et l'atmosphère inquiétante.
Nous avons peu de réponses pour le moment, alors j'attends encore pour me prononcer vraiment sur le récit en lui-même. Il y a peut-être le côté que ce sont des enfants qui me gêne un peu, mais c'est un détail. Par contre, les quelques éléments Ecchi eux ne me plaisent pas du tout, mais c'est toujours le cas avec ce type de série donc bon...
Au niveau des dessins, le graphisme ne me plaît pas plus que cela mais il sert plutôt bien le récit donc je le trouve bien adapté. Si ce tome met l'univers en place et que cela prend un peu de temps, il me donne très envie de poursuivre et de voir ce qui attend encore ces enfants, ces chers écorchés de la vie.