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La Fillette au Drapeau blanc

31/5/2021

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Mangaka: Saya Miauchi

Editions: Akata, 2017

Nombre de pages: 187

Quatrième de couverture:
​Avril 1945, Okinawa. Tandis que le Japon est rentré en guerre depuis quelque temps déjà, la petite île tropicale nippone semble encore épargnée par les conflits. C’est là-bas que vit la petite Tomiko, dans la joie et la bonne humeur, malgré l’absence de sa mère. Pourtant, quand les bombardements commencent et que son père doit partir sur le front, son quotidien bascule et ... Désormais, il lui faudra survivre... Survivre, envers et contre tout !!

Avis:
Je suis tombée complètement par hasard sur ce manga lorsque je suis allée acheter les tomes de mes séries en cours. Quand j’ai lu le résumé, j’ai su qu’il fallait qu’il rejoigne ma bibliothèque. La mangaka nous propose de plonger dans la vie de Tomiko qui a vécu les bombardements à Okinawa. En s’inspirant du livre écrit par cette dernière, elle nous met en images cette histoire touchante et émouvante.

Tomiko est encore une petite fille quand la guerre arrive chez elle. Nous sommes en 1945, les bombardements commencent à Okinawa. C’est alors que sa vie tranquille va se transformer en une lutte pour la survie face au danger de mort qui va devenir son quotidien. S’exiler, se cacher, survivre face à la barbarie des uns et des autres, cette petite fille va quitter très vite le monde de l’enfance et son innocence pour sombrer dans celui beaucoup plus sombre de la guerre et de la mort.

Je ne connaissais pas le livre dont est tiré ce manga, donc je ne peux pas juger de l’adaptation, je vais donc laisser cela de côté. En tous les cas, l’histoire m’a emportée dès le début et j’ai été bouleversée par ce que vit Tomiko et par les dangers auxquels elle doit faire face. Je dois admettre que si j’ai lu beaucoup de choses sur la Seconde Guerre Mondiale, je ne m’étais jamais trop penchée sur les événements qui se sont déroulés au Japon.

Nous en découvrons une partie ici, une partie qui glace et qui nous montre les horreurs vécues par la population, tout comme les idées qu’ils ont eues pour tenter de survivre. Tomiko va montrer des compétences assez impressionnantes dans ce domaine d’ailleurs. Elle saura tirer le meilleur des situations vécues grâce aux enseignements reçus de son père.

Ce one-shot se dévore de bout en bout et nous bouleverse. Rien n’est édulcoré et la mangaka met en images la réalité du terrain et des faits. C’est fort, troublant, angoissant, terrifiant, et pourtant, il y aussi un espoir, une lumière qui reste de bout en bout. A la fin du tome, elle nous présente aussi un peu plus ses recherches et sa visite des lieux en vrai. J’ai aussi particulièrement aimé y trouver les vraies photos, dont celle où Tomiko porte le fameux drapeau blanc. C’est poignant et cela nous rappelle à quel point nous ne lisons pas une histoire imaginaire, rendant le tout encore tellement plus marquant.

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​En bref, ce manga s’intéresse à un épisode de la Seconde Guerre Mondiale dont on nous parle très peu. Aussi, je ne peux que vous conseiller de le lire et de découvrir cette histoire.

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King's Game, tome 1

31/1/2021

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Mangaka: Nobuaki Kanazawa et Hitori Renda

Editions: Ki-oon, 2013

Nombre de pages: 200

Quatrième de couverture:
Nobuaki est réveillé en pleine nuit par un étrange message qui met au défi deux de ses camarades de lycée de s’embrasser. À en croire le mystérieux expéditeur du mail, la classe entière participe à un “King’s Game”, un jeu du Roi auquel elle ne peut se soustraire. Jour après jour, à minuit pile, un nouveau défi s’affiche sur le téléphone portable des lycéens, qui finissent par découvrir la cruelle vérité : ils ont 24 heures pour exécuter les ordres du Roi, et la sanction en cas de désobéissance est la mort.
Suicides ou meurtres ? Puissance occulte ou criminel de chair et de sang ? La mort s’abat inéluctablement sur ses jeunes victimes, où qu’elles se trouvent et quoi qu’elles tentent pour s’échapper. Le couperet se rapproche dangereusement de nos héros… Parviendront-ils à démasquer le Roi avant qu’il ne soit trop tard ?

Avis:
En fait, il ne s'agit pas d'une lecture, mais bien d'une relecture pour un challenge. J'avais vraiment bien aimé ce premier tome quand je l'ai lu (il y a 8 ans quand même), aussi j'avais un sentiment très positif avant d'ouvrir à nouveau ce manga. Et bien, cette deuxième fois ne s'est de loin pas passée aussi bien que la première...

Nous rencontrons donc les élèves d'une classe qui vont plonger dans l'horreur suite à l'arrivée de messages d'un "Roi" qui leur ordonne de faire des choses. Si au début, les défis s'avèrent peu compliqués, juste un peu humiliants, les choses vont devenir bien différentes quand deux personnes n'ayant pas suivi son ordre vont être retrouvées pendues... A partir de là, le jeu va devenir bien plus sombre et prendre une tournure qui les conduira au coeur de l'enfer.

Sur le principe, j'aime toujours autant l'idée proposée ici, mais j'avais oublié à quel point c'était vraiment mal sain dans ce premier tome et à quel point les "cris" perpétuels des personnages étaient agaçants. Il me semble qu'ils ne font que ça, ce qui rend la lecture peu agréable et les dessins assez agressifs et parfois pas très agréables à regarder. 

Après, l'histoire en elle-même donne envie d'en apprendre plus et de savoir qui tire les ficelles et pourquoi! Pourtant, difficile de s'attacher aux personnages, à part peut-être à certains qui vont mourir assez rapidement... Nobuaki est d'ailleurs un personnage que j'ai rapidement eu envie de frapper, même si je peux comprendre ses attitudes et sa tentative de faire face à l'impensable. 

Au final, mon but était d'essayer de reprendre cette série que j'avais arrêtée à la fin du tome 2 qui ne m'avais du tout convenu, en lui donnant une nouvelle chance. Mais cette fois-ci, c'est déjà à la fin du tome 1 que je ne suis plus très convaincue et je pense que définitivement cette série n'est pas pour moi. Je vais peut-être quand même tourner rapidement les pages des autres tomes, histoire de connaître quand même, une fois pour toute, la fin de cette histoire et peut-être tenter les autres séries de la licence qui seront peut-être plus à mon goût.

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En bref, cette relecture m'a largement moins convaincue que la première fois, ce qui me conforte dans l'idée de ne pas poursuivre cette série. 

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Les frères Karamazov

20/1/2020

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Mangaka: Hiromi Iwashita

Auteur: Fiodor Dostoïevski

Editions: Kurokawa, 2020

Nombre de pages: 320

Quatrième de couverture:
L'exubérant et avide Fiodor Karamazov a été assassiné. La disparition de ce chef plonge le reste de la famille dans un combat de coq. Quel sens donner à l'existence de Dieu ? À ce qui est admissible ou pardonnable ? Et qui est l'assassin ? Les Frères Karamazov, l'un des piliers de l'œuvre de Dostoïevski, est superbement adapté dans un manga au trait puissant.

Remerciements:
Je tiens à remercier chaleureusement Babelio et les éditions Kurokawa de m'avoir permis de découvrir ce manga.

Avis:
Je suis une grande fan des auteurs russes, entre autre de Dostoïevski. N'ayant pas encore eu l'occasion de découvrir cette histoire, c'est avec plaisir que j'ai tenté l'aventure pour découvrir ce que cela pouvait donner en version manga. Je dois dire que je ne suis pas déçue d'avoir sauté le pas et que le style de la mangaka rend bien hommage à cette oeuvre de ce grand auteur. J'ai adoré son graphisme soigné, même si j'ai eu un peu du mal par moment avec l'expression faciale des personnages.

Concernant l'histoire, elle est typique des auteurs russes. J'ai toujours beaucoup aimé leur façon de nous faire vivre des récits dont les conclusions sont très réalistes et nous rappellent comment cela peut se passer dans la vraie vie. Point de magie en général, mais plutôt un respect de l'ordre des choses et des conventions, de quoi peut-être être déçu de ne pas rêver davantage, mais c'est cette réalité que j'ai toujours aimée dans ces romans. 

Ici, l'auteur nous plonge au coeur d'une famille aux relations mouvementées et qui est troublante et troublée. Autant dire que nous allons passer par toutes les émotions avec ces trois frères tellement différents et qui nous cachent bien des choses. Les révélations viennent au fil des chapitres pour nous plonger dans une histoire bien plus sombre qu'elle n'y paraissait au premier abord. Les personnages enlèvent leurs masques petit à petit et certains en deviennent terrifiants, de quoi donner une autre tournure à cette histoire.

Je dois dire que j'aimerais bien lire le roman pour pouvoir le comparer au manga, car j'ai eu la sensation que l'histoire se développait trop rapidement à mon goût et qu'il nous manquait certains éléments pour bien cerner la personnalité de nos différents personnages. Mais peut-être que je me trompe et que le roman est construit de la même façon. Affaire à suivre!

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En bref, je trouve excellente l'idée de transposer en manga des classiques de la littérature et surtout quand cela est fait d'une aussi belle façon. ​
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Black Butler, tome 25

30/4/2018

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Mangaka: Yana Toboso

Editions: Kana (Dark), 2018

Nombre de pages: 192

Quatrième de couverture:
Afin de contrer le music-hall et ses activités clandestines, Ciel décide de monter son propre établissement et de proposer son propre spectacle : les Phantom Five.

Avis:
​L’histoire du music-hall mystérieux se poursuit et nous découvrons l'entièreté du plan de Ciel. Un plan machiavélique, empreint d’une bonne dose d’humour, et qui s’avère vraiment bien réfléchi. J’ai adoré ce tome, surtout les déconvenues auxquelles doit faire face Bravat. Je m’attendais à quelque chose de plus intense et de plus sombre, mais comme nous n’avons pas encore fait le tour de la question, je pense que cela viendra au tome suivant.
​
En tout les cas, Ciel évolue mine de rien et j’aime le voir essayer de protéger les siens tout en étant dur. Le prince Soma grandit de plus en plus et je pense qu’il sera un soutien et un élément nécessaire à la suite des aventures de Ciel. Reste à voir quelle sera la conclusion de la scène finale. J’aime toujours autant cette série et je me demande ce que ce cycle nous réserve encore, car il s’avère plus que surprenant et j’adore l’idée que de plus en plus de monde se rassemble autour de ciel.

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En bref, vivement le tome 26 car j’ai hâte de savoir ce qui se passe réellement et quel est le fin mot de cette histoire.

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Black Butler, tome 24

12/10/2017

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Mangaka: Yana Toboso

Editions: Kana (Dark), 2017

Nombre de pages: 192

Quatrième de couverture:
​Une secte mystérieuse fascine les foules par le biais de cérémonies emplies de chants et de danses. Mais le but de ces cérémonies est précisément de récolter le sang des croyants…!
L’épée de la jeune fille se dresse devant le majordome à la recherche de la clé de l’énigme et fait pleuvoir des étincelles de feu…

Avis:
Je me réjouissais de poursuivre cette enquête qui va nous tenir en haleine sur en tout cas un tome de plus, car rien ne se résout ici. Elle tient encore toutes ses promesses, car les retournements de situation sont nombreux et délectables. Je dois admettre que ce qui pimente ce tome, ce n'est pas le côté dark que l'on retrouve dans d'autres tomes, mais bien l'humour. 

Pour un tome de transition, il n'est pas ennuyeux pour un sou! Le lecteur rigole du début à la fin, Ciel a des idées très sympathiques et étonnantes, mais derrière tout cela, nous sentons que nous touchons progressivement au but et que nous allons bientôt connaître le fin mot de cette histoire, fin mot qui s'annonce glauque je crois. 

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En bref, je me suis régalée avec ce tome et j'ai hâte que le suivant sorte! Et allez les P5!
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Perfect Crime, tome 1

9/10/2017

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Mangaka: Arata Miyatsuki

Editions: Delcourt/Tonkam, 2017

Nombre de pages: 192

Quatrième de couverture:
​Un homme, Tadashi Usobuki, est repéré à plusieurs reprises sur le lieu de crimes étranges. Toutefois, personne n'arrive à prouver sa culpabilité. Tout le monde l'appelle depuis "l'homme aux crimes parfaits". Haine, jalousie, désir et amour, Usobuki est capable de répondre à toutes les demandes de meurtre de ses clients. Et méfiez-vous, il ne rôde jamais très loin de vous...

Avis:
​Du temps à tuer dans une librairie, mon regard qui s'égare au rayon seinen et qui se pose sur une couverture noire, c'est comme ça qu'a débuté ma rencontre avec cette série. Une fois de plus, le hasard a bien fait les choses car je me suis régalée avec ce premier tome. L'idée de base est très intéressante et flippante à la fois: Usobuki est capable de manipuler le cerveau des gens pour les persuader qu'ils voient des choses ou qu'il se passe des événements qui n'ont pas réellement lieu. Cela les conduit souvent à mettre fin à leurs jours, le tout sans preuve de meurtre, le crime parfait en somme.

Les manipulations sont assez fascinantes et voir les personnes sombrer ou devenir folles est assez flippant. Toutes les petites histoires présentées dans ce tome sont assez glaçantes, surtout quand nous réalisons qui est le commanditaire, qui est la victime et surtout le pourquoi de tout cela. Nous nous retrouvons face à un thriller psychologique intense qui se dévore, les pages se tournant toutes seules! Le héro est autant fascinant que son don et je me réjouis de le retrouver dans le tome suivant.

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En bref, ce premier tome laisse présager d'une série grandiose. J'espère en tout cas qu'elle continuera sur cette lancée.
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Kiriko

17/9/2017

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Mangaka: Shingo Honda

Editions: Komikku, 2016

Nombre de pages: 200

Quatrième de couverture:
Seize ans après la fin du collège, six anciens élèves se retrouvent. Une lettre d’un auteur inconnu les invite à se réunir en mémoire de Setsuko Okumura, leur camarade de classe disparue à l’époque. Mais bientôt, la réunion organisée dans leur ancienne école prend une tournure étrange. Quelque chose ne tourne pas rond... Il se pourrait bien qu’un tueur se soit introduit parmi eux !

Avis:
J'avais envie de lire un manga horrifique, du coup j'ai fait les rayonnages de la librairie pour en trouver un qui pouvait m'intéresser. Mon choix s'est porté sur ce dernier car les dessins ont attiré mon regard et sans rien connaître ni du mangaka ni de l'histoire, je me suis lancée. 

Si l'histoire n'est pas vraiment originale, le thème est bien traité et m'a donné envie de découvrir le fin mot de ce récit. Les morts s'enchaînent, souvent peu ragoûtantes, sans que l'on sache vraiment qui leur en veut et pourquoi. Y a-t-il un rapport avec l'étudiante qui est morte durant leur scolarité? Si oui, lequel? Et pourquoi?

La fin en elle-même a su me surprendre et je ne l'ai pas vue venir! Je me suis fait clairement avoir car je ne m'attendais pas à un des retournements de situation préparé par le mangaka. C'est ce qui fait que ce one-shot sort du lot à mon goût, même s'il aurait mérité d'être plus long et plus développé.

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En bref, je l'ai acheté totalement au hasard et je dois dire que je ne suis pas déçue de mon choix et je suis contente de la découverte.
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xxx HOlic, tome 4

13/9/2017

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Mangaka: Clamp

Editions: Pika (Seinen), 2017

Nombre de pages: 186

Quatrième de couverture:
Après avoir livré à Shaolan les objets qu'il lui avait demandés, Watanuki pensait pouvoir souffler un peu...
Malheureusement pour lui, les clients défilent les uns après les autres avec des commandes. Il s'efforce de satisfaire tout le monde, mais va bientôt se retrouver face à un choix délicat.
Une fois de plus, il devra faire ses preuves, en tant que patron, mais aussi en tant qu'être humain !

Avis:
Incroyable, mais j'ai loupé la sortie de ce tome alors que je suis fan de cette série! Du coup, dès sa réception je me suis jetée dessus, trop impatiente de savoir ce que les mangakas nous avaient réservé. L'histoire continue de s'assombrir et je crains vraiment le pire quant à la suite des aventures de Kimihiko...

Cette série devient douce amère et la tristesse commence à l'envahir. Je ne m'attendais pas à une telle évolution et j'espère vraiment que tout se terminera correctement, car rien n'est moins sûr. Les personnages suivent une voie qui semble toute tracée, mais par qui? Que risquent-ils au final? Vont-ils finir par être heureux? 

Je me pose de plus en plus de questions et j'ai hâte d'avoir la suite pour savoir quel tournant va prendre cette histoire et si d'autres liens vont être faits avec Tsubasa Reservoir Chronicle, histoire de continuer de suivre ces personnages que j'aime tellement. 

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En bref, encore un tome à la hauteur et qui me rappelle combien j'aime cette série.
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Petshop of Horrors, tome 2

28/5/2017

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Mangaka: Matsuri Akino

Editions: Asahi Sonorama, 2002

Nombre de pages: 255

Quatrième de couverture: 
Bienvenue dans le magasin d'animaux le plus curieux de China Town ! Vous y trouverez une multitude de créatures exotiques plus mignonnes les unes que les autres. Le comte D, propriétaire des lieux, y vend en effet de très rares spécimens qui offrent à celui qui les acquiert une seconde chance de trouver l'amour, de réaliser ses rêves ou ses espoirs. Mais attention, il faudra en prendre soin, sinon votre mignon animal risque tout simplement de se transformer en poisson mangeur d'hommes, en lapin matricide ou en une mystérieuse petite bête tout droit sortie d'une légende oubliée. Et le prix à payer sera immanquablement la mort.

Avis:
Après un premier tome qui tenait toutes ses promesses, j'avais hâte de poursuivre cette série et de voir ce que la suite allait nous réserver. Sauf que voilà, ce tome 2 se poursuit exactement sur la même lancée, sans réelle nouveauté, ni surprise, ce qui est dommage. Le principe des petites histoires est conservé et si elles ont toujours ce côté un peu "horreur", elles sont moins prenantes que celles du tome 1 à mon goût.

Après, le comte D reste un personnage haut en couleurs et passionnant à suivre, tout comme l'inspecteur qui peine encore à accepter ce qui se passe dans cette boutique bizarre... Le duo est délectable et nous fait bien rire, donc rien que pour eux, je vais poursuivre la série en espérant que les tomes suivants retrouveront la saveur du premier opus.

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En bref, ce tome 2 conserve le même pitch intéressant, mais la série ne se renouvelle pas ce qui est dommage. Affaire à suivre donc!
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Petshop of Horrors, tome 1

7/4/2017

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Mangaka: Matsuri Akino

Editions: Asahi Sonorama, 2002

Nombre de pages: 280

Quatrième de couverture:
​Bienvenue dans le magasin d'animaux le plus curieux de China Town ! Vous y trouverez une multitude de créatures exotiques plus mignonnes les unes que les autres. Le comte D, propriétaire des lieux, y vend en effet de très rares spécimens qui offrent à celui qui les acquiert une seconde chance de trouver l'amour, de réaliser ses rêves ou ses espoirs. Mais attention, il faudra en prendre soin, sinon votre mignon animal risque tout simplement de se transformer en poisson mangeur d'hommes, en lapin matricide ou en une mystérieuse petite bête tout droit sortie d'une légende oubliée. Et le prix à payer sera immanquablement la mort.

Avis:
C'est totalement par hasard que je suis tombée sur cette série. Attirée par son résumé, je me suis lancée les yeux fermés et j'ai bien fait! Ce premier tome nous fait découvrir différentes histoires et personnages aux parcours de vie amenant tous à une morale intéressante et nous faisant réfléchir mine de rien.

Le comte D est un personnage attirant et déroutant qui tient un magasin d'animaux qui semble normal en apparence, mais à l'arrière de sa boutique se cachent des créateurs inattendues. Mais attention, si elles vous acceptent comme propriétaire, vous aurez des règles à suivre pour ne pas risquer le pire... Et tout le problème est bien là: si les règles sont assez simples, les transgresser l'est tout autant, mais les dégâts eux, sont alors irréparables.

Je me suis vraiment régalée durant ce premier tome, j'espère juste ne pas me lasser au fil des tomes si le fil rouge reste le même. Mais les créatures sont passionnantes à découvrir et j'aime voir comment la mangaka met en avant les "défauts" de l'être humain et leur perdition. De plus, les dessins correspondent bien à l'histoire et la mettent bien en valeur.

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En bref, voilà un début de série comme je les aime. J'ai hâte de découvrir la suite et de voir si mon coup de coeur se confirme!
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