Auteur: Typy Zoberman
Editions: La Planète des Couleurs, 2013
Format: PDF
Quatrième de couverture:
Il y a 36 ans de cela, Éléonore a perdu l'occasion de suivre une écrevisse sur les dunes du Grand Bec. Mais aujourd'hui, tandis que Alzeimer diminue chaque jour sa capacité à se souvenir, c'est la seule chose qu'elle n'a pas oubliée...
Remerciements:
Je tiens à remercier chaleureusement les éditions La Planète des Couleurs de m'avoir permis de découvrir cette nouvelle qui m'a beaucoup touchée.
Editions: La Planète des Couleurs, 2013
Format: PDF
Quatrième de couverture:
Il y a 36 ans de cela, Éléonore a perdu l'occasion de suivre une écrevisse sur les dunes du Grand Bec. Mais aujourd'hui, tandis que Alzeimer diminue chaque jour sa capacité à se souvenir, c'est la seule chose qu'elle n'a pas oubliée...
Remerciements:
Je tiens à remercier chaleureusement les éditions La Planète des Couleurs de m'avoir permis de découvrir cette nouvelle qui m'a beaucoup touchée.
Avis:
Eléonore souffre d'une des pires maladies: Alzeimer... Elle perd de plus en plus la mémoire et se raccroche à des éléments de son passé vieux de 36 ans. Sa fille, Marie, vient régulièrement la voir même si sa mère ne la reconnaît plus et nie même son existence puisque dans ses souvenirs elle n'a pas eu d'enfants. Difficile de rester auprès d'une personne qui ne nous croit pas et qui assure que c'est impossible puisque jamais elle n'aurait voulu d'enfants. Pourtant Marie reste, revient et continue de s'occuper d'Eléonore, même si cette dernière ne s'est jamais occupée d'elle correctement.
J'ai été fortement touchée par cette histoire. Le départ imminent d'Eléonore est touchant et la relation chaotique entre les deux femmes nous prend par les sentiments. Difficile de ne pas avoir envie de pleurer en entendant les paroles de la mère pour sa fille. Franchement j'espère ne jamais vivre cela avec mes proches, je ne suis pas sûre d'avoir les épaules pour résister et ne pas m'effondrer.
La fin a une part de mystère qui amène une touche inattendue au récit. Une fin douce amère qui touche comme tout le reste de la nouvelle et qui la clôt très bien à mon goût.
Eléonore souffre d'une des pires maladies: Alzeimer... Elle perd de plus en plus la mémoire et se raccroche à des éléments de son passé vieux de 36 ans. Sa fille, Marie, vient régulièrement la voir même si sa mère ne la reconnaît plus et nie même son existence puisque dans ses souvenirs elle n'a pas eu d'enfants. Difficile de rester auprès d'une personne qui ne nous croit pas et qui assure que c'est impossible puisque jamais elle n'aurait voulu d'enfants. Pourtant Marie reste, revient et continue de s'occuper d'Eléonore, même si cette dernière ne s'est jamais occupée d'elle correctement.
J'ai été fortement touchée par cette histoire. Le départ imminent d'Eléonore est touchant et la relation chaotique entre les deux femmes nous prend par les sentiments. Difficile de ne pas avoir envie de pleurer en entendant les paroles de la mère pour sa fille. Franchement j'espère ne jamais vivre cela avec mes proches, je ne suis pas sûre d'avoir les épaules pour résister et ne pas m'effondrer.
La fin a une part de mystère qui amène une touche inattendue au récit. Une fin douce amère qui touche comme tout le reste de la nouvelle et qui la clôt très bien à mon goût.
En bref, une nouvelle qui traite de très belle façon d'un sujet dur, que je vous conseille de découvrir.
