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La symphonie pastorale

22/11/2015

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Auteur: André Gide

Editions: Folio, 1993

Nombre de pages: 150

Quatrième de couverture:
- Il ne faut pas chercher à m'en faire accroire, voyez-vous. D'abord parce que ça serait très lâche de chercher à tromper une aveugle... Et puis parce que ça ne prendrait pas, ajouta-t-elle en riant. Dites-moi, pasteur, vous n'êtes pas malheureux, n'est-ce pas ? 
Je portai sa main à mes lèvres, comme pour lui faire sentir sans le lui avouer que partie de mon bonheur venait d'elle, tout en répondant :
- Non, Gertrude, non, je ne suis pas malheureux. Comment serais-je malheureux ?

Avis:
Ce livre est une relecture pour un challenge. Comme je l'ai lu il y a de nombreuses années, je ne me rappelais plus trop de l'histoire, ni de son déroulement, aussi c'est avec plaisir que je l'ai redécouvert. Si le style de l'auteur me plaît toujours autant, j'ai eu plus de peine avec certains éléments du récit, n'adhérant pas complètement aux propos tenus.
​
C'est l'histoire particulière d'un pasteur qui prend sous son aile une jeune aveugle qui nous est contée. Bien décidé à l'instruire et à l'orienter sur le chemin de la vie et de la foi, il consacre beaucoup de son temps à cette jeune fille qui se transforme de plus en plus en une obsession ingérable, au détriment de sa propre famille et principalement de sa femme...

C'est la descente aux enfers d'un homme de foi, la rencontre avec l'amour interdit, l'abnégation pour un être autre que Dieu, que l'auteur nous dépeint. Voilà justement l'élément pour lequel j'ai eu un peu plus de peine. Finalement la religion prend beaucoup de place dans ce texte, presque un peu trop à mon goût... Mais bon cela n'enlève rien au charme de cette histoire, au côté sombre de la fin et à la chute du pasteur.

L'auteur nous sert un récit envoûtant, avec des mots justes, simples, forts et troublants. Si Gertrude nous touche fortement, l'impact qu'elle a sur la famille du pasteur ne nous laisse pas de marbre pour autant... J'ai été surprise par la fin du récit qui nous prend au dépourvu et qui n'était pas prévisible. J'ai aimé ce parti pris de l'auteur, même si cela ressemble un peu à une punition (divine? Allez savoir...). Si le texte reste un peu court et donc finalement peu développé, aller droit au but n'est pas un mal non plus.

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En bref, j'ai aimé cette histoire même si j'ai eu un peu de peine avec la place importante que prend la religion dans le récit. Mais ce côté-là rend la fin d'autant plus ironique et réflexive...
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Le pendu de Saint-Pholien

21/11/2015

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Auteur: Georges Simenon

Editions: Le Livre de Poche, 2004

Nombre de pages: 187

Quatrième de couverture:
Personne ne s'aperçut de ce qui se passait. Personne ne se douta que c'était un drame qui se jouait dans la salle d'attente de la petite gare où six voyageurs seulement attendaient, l'air morne, dans une odeur de café, de bière et de limonade. Il était cinq heures de l'après-midi et la nuit tombait. Les lampes avaient été allumées mais, à travers les vitres, on distinguait encore dans la grisaille du quai les fonctionnaires allemands et hollandais, de la douane et du chemin de fer, qui battaient la semelle. Car la gare de Neuschanz est plantée à l'extrême nord de la Hollande, sur la frontière allemande. Une gare sans importance. Neuschanz est à peine un village. Aucune grande ligne ne passe par là. Il n'y a guère de trains que le matin et le soir, pour les ouvriers allemands qui, attirés par les gros salaires, travaillent dans les usines des Pays-Bas.

Avis:
J'ai commencé la lecture de polars en étant enfant avec cet auteur. Pourquoi? Simplement parce que c'était le seul qui se trouvait dans la bibliothèque de ma maman, une fan de l'auteur. Je dois avouer qu'à l'époque l'idée de rencontrer Maigret me plaisait moyennement car je n'étais pas une adepte de ce genre de personnages. Pourtant, le contact a passé parfaitement bien entre moi et ce commissaire si attachant. 

Je dois dire que ce que j'apprécie énormément avec ces romans, c'est qu'ils se lisent très rapidement, d'une traite même. Celui-ci est un des meilleurs que j'aie eu l'occasion de lire. Déjà parce que l'histoire est très inhabituelle et qu'ensuite Maigret se trouve directement mis en cause dans le déroulement des événements. Le pauvre n'aura donc de cesse de dénouer les fils d'une enquête sombre et ancienne qui ronge la vie de bien des personnes.

Si l'enquête progresse tranquillement, elle est passionnante et les révélations juste bien placées pour nous donner envie d'en apprendre plus et de continuer de suivre la progression de Maigret. Autant vous le dire tout de suite, les révélations sont assez inattendues et réussissent à nous surprendre de belle façon. J'aurais même aimé poursuivre l'enquête encore un peu tellement j'ai été emportée. C'est donc un polar qui se lit vite, qui sort un peu des autres enquêtes du commissaire et qui s'avère être un des bons épisodes de la série.

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En bref, ce roman m'aurait presque donné envie de retrouver plus souvent le commissaire et de le mettre davantage à l'honneur dans mes lectures annuelles.
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La ferme des animaux

20/11/2015

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Auteur: George Orwell

Editions: Folio, 2008

Nombre de pages: 151

Quatrième de couverture:
Un beau jour, dans une ferme anglaise, les animaux décident de prendre le contrôle et chassent leur propriétaire. Les cochons dirigent la ferme comme une mini société et bientôt des lois sont établies proscrivant de près ou de loin tout ce qui pourrait ressembler ou faire agir les animaux comme des humains. De fil en aiguille, ce microcosme évolue jusqu'à ce qu'on puisse lire parmi les commandements : " Tous les animaux sont égaux, mais (il semble que cela ait été rajouté) il y en a qui le sont plus que d'autres. "
Le parallèle avec l'URSS est inévitable quand on lit cette fable animalière. A travers cette société, c'est une véritable critique du totalitarisme d'état que développe Orwell.

Avis:
Allez savoir pourquoi, alors que j'ai croisé très souvent ce classique, je ne l'avais jamais ouvert. Pourquoi? Bonne question... Peut-être justement parce que c'est un classique et que j'ai parfois quelques difficultés avec les livres appartenant à cette catégorie. Ce qui m'a impressionnée c'est que ce livre est toujours entièrement d'actualité alors qu'il date de bien des années... J'aurais même envie de dire qu'il devrait être une lecture obligatoire tellement il permet de réfléchir sur la société et sur l'être humain en général.

La symbolique des animaux qui prennent le pouvoir m'a beaucoup plu. Je trouve même que l'auteur marque d'autant plus son lecteur que s'il avait choisi de rester simplement avec des êtres humains. Nous retrouvons sans problème les liens avec des caractères et comportements humains, à tel point que cela fait sourire et nous donne envie de lire le roman d'une traite. Sourire? Oui mais... Très rapidement nous rions jaune voire plus du tout car nous comprenons où l'auteur veut nous emmener et cela nous fait frémir. 

Frémir car comment ne pas être terrifié quand en quête de liberté et de vie meilleure, des êtres plongent dans une vie encore pire qu'avant, une vie faite d'esclavagisme et de maltraitance? Comment ne pas pleurer face aux ordres suivis sans se poser de questions, face à l'endoctrinement et les manipulations des cochons qui ne font qu'augmenter pour leur propre profit face à la vie des autres? Comment ne pas frémir face à cette société qui est exactement la nôtre et qui, malgré les années, n'a pas évolué plus que cela... Celui qui sait manipuler et endoctriner reste encore et toujours celui qui sort son épingle du jeu face aux plus faibles qui suivent et adulent sans se poser de questions ou tout du moins, sans réagir.

Ce texte a toujours été d'actualité car l'être humain est ce qu'il est et ne changera pas (empirera même j'aurais envie de dire), mais d'autant plus suite aux événements qui se sont déroulés et se déroulent toujours près de chez nous et dont tout le monde parle. Il se trouve que je l'ai commencé alors que tout débutait, sans savoir ce qui se passait et je dois dire que le clin d'oeil est assez effrayant pour être évoqué...

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En bref, cette lecture est forte et amène une réflexion passionnante sur notre société et sur les gens qui la dirigent. Si les idées de changement sont souvent bonnes, leur mise en route effective, elle, n'est pas toujours aussi bénéfique car certaines personnes chercheront toujours le profit au détriment des autres.
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Treize raisons

19/11/2015

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Auteur: Jay Asher

Editions: Albin Michel (Wiz), 2010

Format: ePub

Quatrième de couverture: 
Clay Jensen reçoit sept cassettes enregistrées par Hannah Baker avant qu'elle ne se suicide. Elle y parle de treize personnes qui ont, de près ou de loin, influé sur son geste. Et Clay en fait partie. D'abord effrayé, Clay écoute la jeune fille en se promenant au son de sa voix dans la ville endormie. Puis il découvre une Hannah inattendue qui lui dit à l'oreille que la vie est dans les détails. Une phrase, un sourire, une méchanceté ou un baiser et tout peut basculer...

Avis:
Cela faisait longtemps que ce livre me faisait de l'oeil et je dois dire que je ne sais pas ce qui m'a retenue de le lire plus tôt. Quelle claque que ce roman! Il est tellement glaçant et tellement réaliste, qu'il est bien difficile de ne pas trembler en le lisant... Impossible de rester de marbre et de ne pas être touchée par ce qui arrive à Hannah.

Tout part de la théorie de l'effet boule de neige. Vous savez quand un petit élément amène un enchaînement en masse d'autres événements... Si déjà à la base ce n'est souvent pas en positif que nous en parlons, ici cela se solde par un suicide, donc je vous laisse imaginer à quel point les faits évoqués sont loin d'être charmants.

Treize raisons, treize personnes qui ont influencé le cours d'une vie. Une vie normale à la base, celle d'une jeune fille sans histoire qui voulait juste suivre son chemin. Mais celui-ci va arriver dans une impasse... Difficile de ne pas se remettre en questions en lisant ce roman... Et si nous avions nous-mêmes influencé la vie d'une autre personne? Et si nous étions aussi la cause d'un engrenage infernal, que ferions-nous? 

Le respect de l'autre est fondamental et dans notre société il se perd de plus en plus. Suivre la descente aux enfers de Hannah à traver Clay est troublant et angoissant, sans compter que la fin est ineluctable alors que nous donnerions n'importe quoi pour la changer. J'ai été retournée par ce récit et vraiment chamboulée par les événements évoqués. Le parti pris de nous faire vivre le tout par des enregistrements est vraiment excellent! J'ai trouvé que cela ne rendait le récit que plus fort, plus angoissant et plus profond.

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En bref, j'ai été subjuguée par cette sombre histoire et je ne peux que vous conseiller de lire ce roman coup de poing qui vous fera réfléchir sur vos propres comportements et attitudes vis-à-vis des autres.
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François le Bossu

11/11/2015

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Auteur: Comtesse de Ségur

Editions: Hachette (Nouvelle bibliothèque rose), 1962

Nombre de pages: 255

Quatrième de couverture: 
Christine mène une « vie de misère », abandonnée aux mauvais soins de sa bonne, Mina, par une mère plus occupée de ses toilettes et de sa vie mondaine et un père trop faible.
M. des Ormes garda le silence, comme d’habitude, devant l’opposition de sa femme. Elle courut dans sa chambre pour préparer sa toilette du lendemain. Elle ne songea pas à Christine
Heureusement, elle a l'affection de ses cousins Gabrielle et Bernard et surtout celle de François de Nancé, un jeune voisin souvent rejeté à cause de sa bosse.

Avis:
Dans le cadre d'un challenge, j'ai pu ressortir ce roman qui était l'une de mes lectures préférées en étant enfant. Je ne saurais dire combien de fois je l'ai lu, mais cela devait être plus d'une dizaine de fois. Depuis, je n'avais jamais retrouvé François et Christine, ces enfants si attachants qui sont en partie pour quelque chose dans le choix de ma profession.

J'ai été surprise de me rappeler aussi peu de l'histoire, aussi ce fut une belle redécouverte. Je dois admettre que je n'ai toutefois pas été autant emballée que quand j'étais enfant, mais malgré tout j'ai passé un excellent moment avec ce roman. J'ai trouvé que certaines scènes étaient un peu longuettes et sans grand intérêt voire un peu faciles quand même. Tout est un peu trop parfait dans ce récit, mais en même temps cela n'entache en rien les thèmes principaux du handicap et de la différence qui restent mis à l'honneur de belle façon.

Si tout est bien qui finit bien, l'auteur sensibilise admirablement son jeune public à la différence et je trouve que son livre offre une belle ouverture d'esprit. Par des mots simples et des événements plausibles, elle les pousse à accepter l'autre et à se montrer bon envers lui. Si le côté pieux prend une place un peu trop importante à mon goût, le discours n'en reste pas moins important et admirable. Il faut dire que notre chère Christine passera par bien des déboirs et qu'il est bien difficile de rester insensible face à ce qu'elle vit. C'est à se demander qui d'elle ou de François à la vie la plus compliquée...

Ce sont des personnages comme je les aime et qui nous donnent envie de changer, d'être auprès d'eux, de les soutenir, bref de les avoir comme amis. Du coup, c'est avec nostalgie que nous leur disons au revoir, triste de déjà les quitter après ce bout de chemin tellement touchant.

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En bref, j'ai retrouvé avec plaisir ce livre qui a marqué mon enfance et si tous les éléments ne m'ont pas touchée de la même façon en tant qu'adulte, j'apprécie toujours autant cette belle histoire de tolérance, d'amour et d'amitié. Une onde de fraîcheur dans ce monde de fous!
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L'Edit d'Alambrisa

11/11/2015

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Auteur: Alix D'Angalie

Editions: Editions du Monde Premier, 2013

Format: PDF

Quatrième de couverture:
À l’issue d’une ère de guerres sanglantes, les Hommes sont parvenus à développer une civilisation aussi pacifique que prolifique.
Tellur est un monde en Paix, un rêve devenu réalité au prix de sacrifices incommensurables… et grâce à l’Édit d’Alambrisa.
Plus de trois-mille six-cent ans après la rédaction de l’Édit d’Alambrisa, Sicara Narki accède au prestigieux statut d’Apprentie et intègre le lieu de formation des Mages les plus puissants de Tellur, sous l’égide du plus mystérieux des professeurs.
Mais elle est loin de mener au Conservatoire la vie studieuse et sereine à laquelle elle a toujours aspiré. Une série de drames sans précédent vient perturber la Paix d’Alambrisa et très vite, l’Apprentissage de Sicara prend une tournure inattendue et dangereuse qui changera du tout au tout le cours de son existence…
… et peut-être même la civilisation de l’Édit tout entière.
​
Remerciements:
Je tiens à remercier les Editions du Monde Premier de m'avoir permis de découvrir cet ouvrage de fantasy.

Avis:
C'est avec une certaine curiosité que j'ai découvert ce roman dont je n'avais pas du tout entendu parler. Comme je suis toujours très motivée à découvrir des oeuvres peu mises en avant, je me suis lancée avec entrain dans cet énorme parvé. Seulement, si j'ai vraiment apprécié cette lecture, tout ne s'est pas aussi bien passé que je l'espérais.

Quand je me retrouve face à livre comptant plus de 700 pages, j'ai toujours un peu la crainte que l'histoire n'avance pas assez rapidement et que je trouve le temps long. Si heureusement ce n'est pas toujours le cas, ici le début a été très difficile pour moi. La lenteur avec laquelle l'auteur déroule son récit et met en place son fil rouge a eu un peu raison de moi et j'ai vraiment eu de la peine à entrer pleinement dans le récit. Du coup, j'étais très mitigée durant la première moitié du roman n'arrivant ni à m'attacher à l'univers ni à l'héroïne. Seul Ergej a réussi pleinement à accrocher mon attention et s'est avéré l'élément qui m'a donné envie d'en savoir plus.

Ce que j'ai trouvé surtout très frustrant, c'est que malgré le temps pris pour la mise en place de l'intrigue, quasiment jusqu'au bout j'ai eu l'impression de ne pas cerner tous les éléments présentés. Le fonctionnement des dons restent vague à mon goût, tout comme la mise en place réelle de la Cause. Je trouve que l'univers n'est finalement pas assez décrit et que nous restons en surface alors que l'action met du temps à démarrer pour justement prendre le temps de l'installer. C'est dommage et cela reste ma plus grande frustration.

Quant à l'histoire en elle-même, quand elle se met réellement en route, je l'ai bien appréciée. Même si les événements ne sont pas complètement originaux dans l'univers de la fantasy, ils sont bien amenés et servis par une brochette de personnages intéressants à découvrir. Sicara et Ergej sont vraiment le point fort de ce roman et je dois dire que j'ai eu de la peine à les quitter. Mais là aussi j'aurais aimé aller encore plus loin, que leurs sentiments soient encore plus décrits, que nous plongions encore plus dans leurs pensées. Oui quand j'aime, je veux tout savoir!

Certains enchaînements sont un peu brusques et auraient mérité quelques éclaircissements supplémentaires, mais cela n'est pas dérangeant pour la compréhension de l'histoire et ne nous empêche pas de vouloir en savoir toujours plus. Donc oui, ce n'est pas un coup de coeur, quelques points m'ont un peu frustrée et un manque d'explications s'est fait sentir, mais globalement j'ai vraiment passé un excellent moment dans cet univers avec une Sicara passionnante et un Ergej tellement craquant (oui oui je suis amoureuse...).

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En bref, ce roman fut une belle découverte malgré quelques petits défauts qui m'ont empêchée de complètement adhérer à ce récit alors qu'il avait tout pour me plaire.
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