 | Auteur: Sylvain Namur Editions: Autoédité, 2021 Nombre de pages: 296 Quatrième de couverture: Sebastian et Ella sont-ils heureux ensemble ? Les difficultés qu’ils rencontrent pour mettre un enfant au monde n’a-t-il pas révélé de profondes fissures dans leur couple ? Alors qu'ils enchaînent les tests négatifs et les tentatives infructueuses, un brouillard assassin engloutit le monde autour d’eux. Personne ne sait l'expliquer, personne ne sait comment le stopper. Séparés par ces évènements dramatiques, Sebastian et Ella devront tout faire pour survivre et, surtout, sortir de la brume. Remerciements: Je tiens à remercier chaleureusement l'auteur de m'avoir permis de découvrir cette histoire passionnante. |
Avis:
Voilà un roman qui a une drôle de consonnance à l’heure actuelle avec ce virus qui s’amuse à transformer notre quotidien et notre façon de vivre. Je dois dire que savoir qu’au premier abord cette histoire devait parler d’un virus et que finalement l’auteur a imaginé un autre fil conducteur est plutôt bienvenu et change du quotidien que nous vivons. C’était vraiment une bonne idée de faire cette modification, d’autant plus que cette histoire de brume est tout simplement génialissime ! Même si son impact n’est pas le même, cela m’a rappelé ma lecture de « Frog » qui m’avait bien marquée aussi avec son brouillard très particulier…
Nous faisons dans la connaissance de Sebastian (et pas Sébastian attention !) et d’Ella, un couple assez particulier car difficile de dire s’ils sont vraiment heureux ensemble, leur relation étant très particulière, voire totalement toxique, du fait de l’attitude bien souvent exécrable d’Ella. J’ai rarement envie de m’en prendre aux héros d’une histoire, mais là j’ai vraiment eu envie de la frapper, je vous jure. Elle incarne tout ce que j’ai du mal à accepter. C’est donc impressionnant de voir comme Sebastian est coincé et enlisé dans sa relation avec elle.
Bref, revenons à nos moutons, enfin à notre brume pas comme les autres… Voilà que cette dernière apparaît sans que l’on sache vraiment pourquoi, mais surtout, elle tue toute forme de vie sur son passage… Un vrai carnage, un massacre de masse… Personne ne l’a anticipée, personne ne se rend compte de ce qui se passe et les conséquences en seront catastrophiques. Les voilà donc pris dans cette tourmente où la lutte pour la survie face à cet ennemi implacable deviendra leur seul quotidien. S’en sortiront-ils ? Comment tout cela va évoluer ? A vous de le découvrir, mais accrochez-vous, car vous allez passer par toutes les émotions.
Ce roman est une vraie claque ! L’auteur nous plonge au cœur de notre monde qui part totalement à la dérive et qui ne sera plus jamais le même. C’est passionnant mais aussi très angoissant. Et si cela se produisait un jour ? Nous sommes vraiment bien peu de choses face à la nature… Et ce ne sont pas les événements météorologiques actuels qui nous feront penser le contraire ! Sebastian va nous plonger au cœur d’une France qui est devenue anxiogène et qui ne nous montrera pas que le beau côté de l’être humain.
Car qui dit catastrophe mondiale, dit aussi survivants et réorganisation de la société, et là, il y a vraiment de tout, le meilleur comme le pire… Nous frémissons donc du début à la fin, craignons le pire pour les personnages, tout en les suivant toujours avec avidité tellement nous sommes pris dans cette brume, tout comme eux, et que nous voulons juste pouvoir en sortir et respirer à nouveau. C’est donc une course contre la montre qui est enclenchée et qui fait que nous n’arrivons plus à relâcher le roman avant la fin. Du moins, si une fin est possible.
Voilà un roman qui a une drôle de consonnance à l’heure actuelle avec ce virus qui s’amuse à transformer notre quotidien et notre façon de vivre. Je dois dire que savoir qu’au premier abord cette histoire devait parler d’un virus et que finalement l’auteur a imaginé un autre fil conducteur est plutôt bienvenu et change du quotidien que nous vivons. C’était vraiment une bonne idée de faire cette modification, d’autant plus que cette histoire de brume est tout simplement génialissime ! Même si son impact n’est pas le même, cela m’a rappelé ma lecture de « Frog » qui m’avait bien marquée aussi avec son brouillard très particulier…
Nous faisons dans la connaissance de Sebastian (et pas Sébastian attention !) et d’Ella, un couple assez particulier car difficile de dire s’ils sont vraiment heureux ensemble, leur relation étant très particulière, voire totalement toxique, du fait de l’attitude bien souvent exécrable d’Ella. J’ai rarement envie de m’en prendre aux héros d’une histoire, mais là j’ai vraiment eu envie de la frapper, je vous jure. Elle incarne tout ce que j’ai du mal à accepter. C’est donc impressionnant de voir comme Sebastian est coincé et enlisé dans sa relation avec elle.
Bref, revenons à nos moutons, enfin à notre brume pas comme les autres… Voilà que cette dernière apparaît sans que l’on sache vraiment pourquoi, mais surtout, elle tue toute forme de vie sur son passage… Un vrai carnage, un massacre de masse… Personne ne l’a anticipée, personne ne se rend compte de ce qui se passe et les conséquences en seront catastrophiques. Les voilà donc pris dans cette tourmente où la lutte pour la survie face à cet ennemi implacable deviendra leur seul quotidien. S’en sortiront-ils ? Comment tout cela va évoluer ? A vous de le découvrir, mais accrochez-vous, car vous allez passer par toutes les émotions.
Ce roman est une vraie claque ! L’auteur nous plonge au cœur de notre monde qui part totalement à la dérive et qui ne sera plus jamais le même. C’est passionnant mais aussi très angoissant. Et si cela se produisait un jour ? Nous sommes vraiment bien peu de choses face à la nature… Et ce ne sont pas les événements météorologiques actuels qui nous feront penser le contraire ! Sebastian va nous plonger au cœur d’une France qui est devenue anxiogène et qui ne nous montrera pas que le beau côté de l’être humain.
Car qui dit catastrophe mondiale, dit aussi survivants et réorganisation de la société, et là, il y a vraiment de tout, le meilleur comme le pire… Nous frémissons donc du début à la fin, craignons le pire pour les personnages, tout en les suivant toujours avec avidité tellement nous sommes pris dans cette brume, tout comme eux, et que nous voulons juste pouvoir en sortir et respirer à nouveau. C’est donc une course contre la montre qui est enclenchée et qui fait que nous n’arrivons plus à relâcher le roman avant la fin. Du moins, si une fin est possible.
 | En bref, l’originalité est le maître mot de cette histoire qui nous emprisonne et qui nous coupe la respiration du début à la fin. Alors prenez une grande inspiration et plongez au cœur de la brume ! |
